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samedi, 09 septembre 2006

Jacques : Rebotier :: Quelques ::: animaux de transport :::: & ::::: de compagnie

    Tout de même, ce n’est pas un hasard. Lui aussi fait partie des foules d’obsédés numérolâtres. Son opuscule de 2004 est composé de 36 fragments, répartis comme suit : 27 dans la partie principale, 8 dans l’“additif 1” et 1 dans l’“additif 2”.

Soit 33 + 23 + 13 = 62

 

(Si j’en crois David Wells, qui a raison, c’est parce que 36 est triangulaire tout en ayant pour racine carrée le troisième nombre triangulaire, 6, qu’il est la somme des cubes des trois premiers chiffres.)

Les rayures du poisson-clone sont certainement un clin d’œil à la collection des éditions Harpo & Co dans laquelle l’ouvrage est publié (‘comme dix raies blanches’*). Dix raies blanches et onze raies oranges : celui-ci. Dix raies blanches et onze raies roses : celui-là (47 autobiographies, 2003).

Le dernier texte s’intitule “Le lecteur à rayures”, aussi, mais Rebotier a évité d’évoquer le zèbre parmi ses animaux de locomotion.

Dans “Le Pipallon”, je me suis demandé s’il n’y avait pas une allusion à une phrase de Saint-Pol Roux que j’aime beaucoup : Les coups de ciseaux gravissent l’air.

Rage, frimas, il y a des girafes, comme jadis dans Frasques.

 

J’ai bu ces quelques pages en lisant un verre de Chinon. Elles ne me trouvent pas très buvard bavard.

 

* Comme dirait Blanche… Mais qui est Blanche ? Est-ce Aragon ou Francis ?

10:34 Publié dans 1295 | Lien permanent | Commentaires (0)

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