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mardi, 26 février 2008

Trara !

[ 14.02.2008.

    « Il est remarquable que l’un des grands maîtres du trombone, Jack Teagarden, ait joué pendant toute sa carrière – de 1927 à 1964 – dans le même style, qui s’est parfaitement adapté à toutes les esthétiques qu’il a traversées. » Voilà ce qu’écrit Marc Richard dans l’édition 1988 du Dictionnaire du jazz (« Bouquins » Laffont, entrée TROMBONE, p. 1021). À l’entrée TROMBONE A PISTONS, signée par le même Marc Richard, on apprend que Juan Tizol n’improvisait jamais, et que Bob Brookmeyer est le « grand soliste » de l’instrument.

Au demeurant, Marc Richard se contente de mentionner Albert Mangelsdorff en passant, en imaginant que la pleine page consacrée au grand tromboniste allemand dans le Dictionnaire suffit à compenser.

J’ai consulté ces deux entrées après avoir écouté les quatre faces de l’enregistrement du quartette de Gerry Mulligan à la salle Pleyel en 1954, avec Brookmeyer au trombone. Back at home, je sais que j’ai un CD de Brookmeyer en leader, disque que j’aime beaucoup mais dont le titre persiste à ne pas me revenir.

Les pommes de pin pétaradent dans l’âtre.