lundi, 13 novembre 2006
Pont des soupirs
Sans moi. Il n'est partout question que de Madame Bovary.
Who talks to saints. If they talk to Saints are they said to resemble Madame Bovary.
In talks to saints they are believed to be reminded of their times. The times when they were this. This and that and that and this and a bell and a bull. A bull and a bull. When they were this.
I planted I implanted in them a symbol of bees of bread of meat of figs of trees not of birds nor of cows nor of doors nor of rivers but of fountains and of water and of sheep and of size.
He sighs and she sighs.
Si je commence, si je ne me retiens pas, je vais tout recopier. Quand même, c'est. Talks to Saints Or Stories of Saint Remy. Comment c'est. Un texte (sublime, forcément sublime) de Gertrude Stein (Voice Lessons and Calligraphy 1915-1930. In Painted Lace and Other Pieces. NY : Books for Libraries Press, 1969, p. 108). Commencez quand même.
08:00 Publié dans Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Littérature
Commentaires
A propos de Madame Bovary, un truc amusant (enfin moi, ça m'amuse...) Le Magazine Littéraire publie un numéro (n°458, novembre 06) dont le dossier est consacré à la dame en question. Pages 55-56 se trouve un article de Serge Zenkine, "Le drame de la solitude", qui traite de la manière dont le livre est/a été perçu en Russie. Jusqu'ici tout va bien ? Oui. Ce qui est plus curieux : cet article est illustré de la couverture du livre en édition... grecque.
Écrit par : fuligineuse | mardi, 14 novembre 2006
Ah, je n'avais pas remarqué. (Pour une fois, il y a de très bonnes choses dans ce *Magazine littéraire*, confusion helléno-cyrillique hormise.)
Écrit par : MuMM | mardi, 14 novembre 2006
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