dimanche, 14 janvier 2007
En lisant les deux premiers chapitres de « The Demon »
His ministrations : détournement du langage puritain (pasteur de l’adultère)
Le regard de Wyatt Earp, l’hypnose du prédateur.
Le refus des apostrophes, une marque de fabrique… mais enfin, c’est aussi l’attachement dans le cas possessif (possession : histoire du diable au corps), le rejet de la norme consistant à scinder la marque du génitif du substantif (génitalité, coupure, sexion, voir Maertens et Ferenczi).
The spectators ooood and aaahhhhd : les spectateurs lancèrent des oh et des ah! (Ce n’est pas pareil du tout.)
Le mythe du rire (faire rire les femmes, p. 24). Don Juan pourtant n’est pas drôle. Alors, Chaplin ou Keaton ? (Comme dans ce film de Bertolucci qui se passe en mai 68, avec Louis Garrel. (Titre ?))
Refus des apostrophes, bis. Si fusion des génitifs, alors pourquoi ces slashes entre sujets et auxiliaires contractés ?
Danser ensemble & avec leurs souvenirs, le bel âge.
Life is just a bowl of berries, p. 38.
Right up the old gazoo, p. 43 (et gazookus). The old zortch, p. 45 (la baise). To make some semblance of sense out of the events. A sigh inside of Harry went kerflop (p. 49).
Midway through chapter 2, I’m suddenly wondering whether the person who offered me the novel had some kind of (potentially unkind) intention. Folie furieuse de l’identification, non tout de même pas.
Moving : sur le deuxième disque du trio allemand [em], une mélodie entraînante appuyée par un crescendo de batterie qui sur l’échelle sismique de Roach prend le niveau 9. Personne dans la voiture 11. Je place le marque-pages au début du chapitre 3. Another Mr. Lizard : ce Wollny est génial, mais il faudra parler de ce disque dans un autre billet (autre rubrique, autres temps, autres fureurs), peut-être demain (le 14).
21:25 Publié dans Unissons | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Littérature, Jazz, Anglais
Commentaires
Oui, d'accord.
Écrit par : bibi | dimanche, 21 janvier 2007
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