dimanche, 14 janvier 2007
Tune Z
Déflore
éternelle douceur du monde printanier
évasives senteurs du soleil
printanier
il fait ce soir d’été le
navire au mouillage dans le port
(a)
défleuri
ramené d’autres mers plus terribles
effilé et flanqué de rameurs
aux maillots printaniers comme au
mouillage.
23:30 Publié dans Zézayant au zénith | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Poésie, Jazz
Commentaires
Peut-etre que la (a) veut souligner le point culminant de ce morceau. Est-ce qu'il y a un autre commentaire?
Écrit par : patricia | lundi, 15 janvier 2007
Si j'étais pédant (!!!), je dirais que c'est un alpha souscrit. En l'occurrence, il y a une petite erreur de mise en page, et ce (a) devrait être : 1) séparé du distique qui le précède par une ligne blanche 2) plus à droite.
J'm'en vas rectifier c'la !
Écrit par : MuMM | lundi, 15 janvier 2007
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