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samedi, 21 janvier 2023

Baal design, 0.2.

    Une des questions qui se pose, pour moi, ce sont les origines anglo-indiennes d’Isa Blagden. Je me permets, pour une fois, de citer longuement la Wikipédia :

Blagden's father's first name is given as Thomas in the records of the Florentine Protestant cemetery and her nationality as Swiss, but she was widely thought to be the illegitimate offspring of an English father and an Indian mother. This seemed to be confirmed by an Oriental appearance. There is circumstantial evidence that she was born in Calcutta, the natural daughter of one Thomas Bracken and of a Eurasian, possibly named Blagden. Little is known firmly about her before she arrived in 1850 in Florence, where she soon became a feature of the English community. She was probably educated at Louisa Agassiz's Ladies School near Regent's Park, London, which was favoured by English parents in India.

 

Comme je n’ai pas trouvé de biographie détaillée d’Isa Blagden – et comme, selon toute vraisemblance, il n’y en a pas – je vais peut-être lancer un appel auprès de la liste de diffusion de la Société des Anglicistes de l’Enseignement Supérieur.

 

Il se trouve que je n’ai pas encore décidé ce que serait réellement ce projet. L’idée est d’écrire chaque jour au sujet d’Isa Blagden, et plutôt de ses textes que d’elle. Mais le fait qu’on ne sache rien de précis sur elle jusqu’à l’âge de 33 ans à peu près, et qu’elle ait été aussi proche de grandes figures telles que Elizabeth Barrett Browning et son mari, ou les Trollope, ou encore avec Robert Bulwer-Lytton, fils d’Edward, connu comme poète sous le pseudonyme d’Owen Meredith puis, longtemps après, comme vice-roi des Indes, ne manque pas d’intriguer et de faire aisément déraper tout projet de ce type vers ces figures mieux connues qu’elle. C’est, sans rien m’interdire, ce que je voudrais éviter.

La solution, bien sûr, est d’aller lire et fouiller les textes d’Isa Blagden.

 

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