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lundi, 14 juillet 2025

SecEM, 10 _°_ thralldom

28 août 2025

10 h 15

    Aujourd’hui, il faudrait que je finisse la traduction du chapitre 1. Il reste 11.434 signes, soit une petite portion : il faudra accélérer nettement le rythme quotidien en début d’année 2026, mais si je finis le chapitre 1 aujourd’hui, j’aurai quatre jours d’avance sur mon rétro-planning.

 

15 h 20

Il y a encore eu des bricoles : lessive, couper quelques branches à la demande de la voisine, installation du nouveau lit à la chambre d’A*… Je suis venu à bout des quatre pages et demie, avec un foisonnement modéré (12.143 signes – 6%), en réussissant à ne pas trop me perdre dans le livre de Nnamdi Azikiwe que cite French, Renascent Africa, de 1937, et qui compte visiblement de très belles pages. J’en extrais ici le sous-chapitre sur les « agitateurs ». Je connais mal Azikiwe, mais il me semble que c’est une des seules figures politiques nigérianes majeures qui ait réussi à avoir une position honorable pendant la guerre civile, et qui n’a pas trop de sang sur les mains (y compris via ses discours) ; je peux me tromper. En tout cas, ce que j’en apprends par le truchement de cette traduction me donne envie d’aller creuser (c’est toujours le problème).

C’est à lui qu’on doit la formule que cite French telle quelle, emancipation from thralldom, qui témoigne d’une belle maîtrise des registres et de la synonymie, mais qui m’embarrasse beaucoup ; J’avoue que, toujours aussi littéraire, le nom thralldom m’évoque surtout le vers de Keats : “La Belle Dame sans Merci / Hath thee in thrall !” — Pour l’instant, j’ai tenté « s’émanciper de la sujétion ».

 

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