dimanche, 04 novembre 2007
L’élégie et la cavatine
« Even Elegiac poetry at its best is not mere senile blubber or the pleasure of crabbing something, it is an “And yet…” » (Ezra Pound. Guide to Kulchur. 1938, reed. 1970, ‘Human wishes’, p. 179)
Des ajouts toujours repris : pourquoi, dans la traduction de Michel de Tours, un quatrain des Bucoliques de Virgile devient-il douze ou quinze vers ? L’étirement de l’églogue a-t-elle quelque parenté avec l’emballement mélancolique de la cavatine ? (Reste qu’au fond je ne comprends pas, ici, le sens du verbe crab.)
23:29 Publié dans Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Poésie, Littérature
Commentaires
Il me semble que cela a le sens de "rouspéter" dans le contexte (d'où l'adjectif "crabby"). En anglo-américain, nous disons plus souvent "to crab about".
Main Entry: 5crab
Function: verb
Inflected Form(s): crabbed; crab·bing
Etymology: Middle English crabben, probably back-formation from crabbed
Date: 1662
transitive verb
1 : to make sullen : sour
2 : to complain about peevishly
3 : spoil, ruin
Écrit par : joye | vendredi, 09 novembre 2007
es-tu en grève ?
Écrit par : paul | samedi, 17 novembre 2007
"L’étirement de l’églogue a-t-elle quelque parenté..."
Est-ce que ce ne serait pas "a-t-il", plutôt...?
Entre gens pointilleuses, on se comprend !
Bien à vous !
Écrit par : Olaf | mardi, 30 décembre 2008
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