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dimanche, 10 septembre 2006

Ipso facto

    Quand j'étais enfant, mon père, qui était déjà très actif dans plusieurs associations de protection de l'environnement, passait de temps à autre "à la télé", c'est-à-dire aux actualités régionales de FR3. Ma soeur et moi avions pris l'habitude de nous moquer gentiment d'un de ses tics de langage, qui était d'employer fréquemment la locution latine ipso facto.

Aujourd'hui, dans une brocante, j'ai acheté, pour un euro chacun, deux romans : Alouette de Dezsö Kosztolanyi et Ipso facto de Iegor Gran.

 

(Accessoirement, il me vient à l'esprit que, dans ces carnets, la rubrique Ex abrupto, dont le titre est aussi une locution latine, pourrait donner lieu à de plus amples développements : chaque brève ébauche pourrait constituer le point de départ de récits moins abrupts ou moins laconiques.)

17:17 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (1)

Commentaires

De Kosztolanyi, je recommande surtout "Le traducteur cleptomane" qui est extraordinaire mais que tu connais sans doute déjà.

Écrit par : pradoc | dimanche, 10 septembre 2006

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