mercredi, 04 juillet 2007
La lumière émeraude…
3 juillet.
La pluie battait contre les volets. Métalliques, les volets. Puis le vent sécha les flaques d’eau en agitant les fils télégraphiques. Le vent est une femme, puisqu’il n’est pas mono-tâche. Vieille blague du régiment des peaussiers.
La pluie apaisée, le vent redoublant de vigueur, regarder par la fenêtre les dernières flaques. Et se dire, sans connaître ni le texte original ni vraiment la langue d’origine, que Geneviève Leibrich doit être une excellente traductrice.
………………… « La lumière émeraude qui émane des murs et qui flotte autour du corps de la femme. » (José Eduardo Agualusa. La guerre des anges. Traduction de G. Leibrich. Métaillié, 2007, p. 204)
18:10 Publié dans Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Traduction, Littérature
Commentaires
Le vent est une femme oui, qui vous pète le parapluie et vous décolle le chapeau. Mais la pluie, hum, c'est un homme...;-))
Écrit par : LinaLoca | jeudi, 12 juillet 2007
Le tien, c'est le tien (1999).
http://www.fabulous-trobadors.com/site.html
Écrit par : patricia | vendredi, 27 juillet 2007
Le tien, c'est le tien (1999).
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Écrit par : patricia | vendredi, 27 juillet 2007
forcement de belles et bonnes vacances...
Écrit par : if 6 | samedi, 04 août 2007
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