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mercredi, 04 juillet 2007

Dans le gris laiteux de l’été

    Le jour est gris comme un matin sans café, où l’on a bu deux ou trois tasses de lait froid accompagnées de tartines sans parvenir à s’éveiller. On a préparé la poudre dans le filtre ; l’eau est dans le réservoir haut du percolateur ; mais on ne se résigne pas à enclencher le bouton On. Plusieurs livres sont en souffrance, à l’étage. La douleur donne des coups sous la carapace. Comme l’esprit, vif jusque là, s’est lentement défait de ses chimères, plusieurs textes sont en souffrance.

05:50 Publié dans Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Fiction, écriture

Commentaires

Souffrance? Pourtant aucun de vos textes ne semble avoir été martyrisé durant l'écriture...belles gueules, parfumés et savoureux. Les beaux jours reviennent Mumm (ils reviennent toujours) : pourquoi ne pas vous mettre au café frappé?

Écrit par : LinaLoca | mercredi, 04 juillet 2007

Penser à MuMM sous un carapace : cela contraste un peu avec la grande vitesse de ses lectures. Proceder par contrastes ?

Écrit par : pat | samedi, 07 juillet 2007

J espere de tout coeur que l ete, gris le quatre juillet, s est un peu eclaire au mois d aout; accompagne de nombreuses lectures et de matinees rejouissantes. As-tu pense aux cafes glaces?

Écrit par : Aurelie | samedi, 11 août 2007

Les commentaires sont fermés.