mardi, 07 octobre 2014
Avions
Votre vacarme recouvre Wagner,
atroces avions puants —•—
Votre kérosène qui schlingue
sous votre carcasse carlingue,
Ô cadavres dégueulasses,
Empuantit tout le sublime
d'un salon ensoleillé
où —•— travaillant, même en vers je
ne vous embaume.
2 octobre
17:42 Publié dans Vains neuvains | Lien permanent | Commentaires (0)