jeudi, 31 août 2006
Le pélican devient papal, etc.
La tension devient palpable. Pablo Neruda passe par là. Parla patois, m'exhorte le troubadour. Adour, fleuve de l'enfance, où désormais les barthes sont peuplées de buffles.
Sans chambre claire, pas de vie ensoleillée. Layez point la bonne franquette. Quête du sens impénétrable, à cette heure désabusé. Usé de courir.
La vie entre les lignes. Démerde-toi.
02:15 Publié dans Kyrielles de Kaprekar | Lien permanent | Commentaires (0)
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