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vendredi, 03 novembre 2006

Amaryllis granité

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    Huit jours, soit le temps d'une glaciation. Je ne prends pas d'anisette avec mon amaryllis. Les murs ont des oreilles.

... 25 octobre ...

 

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... 2 novembre ...

Cette nuit, il a peut-être pris un méchant coup de gel. Les kakis, dans le garage, mûrissent gentiment, lentement, et je songe que Madame de Véhesse, la reine des amaryllis en quelque sorte, a peut-être laissé passer (ce qui ne lui est aucunement reproché) une note à l'unisson qui lui était principalement destinée.

 

(Cela dit, de mon côté, je ne réponds pas aux commentaires, en l'espèce parce que je n'ai pas de réponse.)

 

Ah, la voix de son maître (en double stéréo) !

10:53 Publié dans Unissons | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Littérature

Commentaires

Pourquoi diable cette phrase : "Je ne prends pas d'anisette avec mon amaryllis" me semble-t-elle du registre érotique ? Je dois avoir l'esprit mal (ou bien, c'est selon...) tourné.

Écrit par : fuligineuse | vendredi, 03 novembre 2006

Eh bien, je n'avais pas compris que cette note m'était spécialement destinée. Merci.
Le plus surprenant en fait, c'est que le même jour (le 25 octobre, donc) je venais de mettre sur le site de la SLRC un article d'un journal du sud qui citait Renaud Camus, sans dire que l'extrait venait du "Département du Gers".
Le site a planté, mon message a été mangé.

Écrit par : VS | vendredi, 03 novembre 2006

Les commentaires sont fermés.