mardi, 09 janvier 2007
« mange un citron »
Ce n’est rien
Tout cela n’est rien
Du cinéma trois fois rien
Trois fois rire de leurs larmes
Rien qui ne te lasse
Rien, assez.
07:00 Publié dans Aujourd'hier | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Poésie
Commentaires
Ah, c'est très bien la forme du decrescendo ou diminuendo de ces lignes: donc, les "larmes de feu" vont diminuer par trois dégrés d'intensité, jusqu'au silence, pour terminer, et donner la place à une douce sensation de calme. Très bien.
Écrit par : patricia | jeudi, 11 janvier 2007
... ou le sentiment de rien, aussi, ce qui est terrible. Horreur du point final.
Écrit par : MuMM | jeudi, 11 janvier 2007
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