Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 14 juin 2011

Herdentrieb und Hospitalismus

 

    D’aucune manière la danse

À peine lancée à la face du monde

n’a peur

Et nous, sinueux, sommes d’autres fantômes.

(S'en vont nuages faims regards.) Nous allons en zigzag

chaloupant nos envies nos aventures nos

cauchemars pour rien d’étonnant. Mais la route

est longue, avec ses

glissières, embardées, pertes de sang

Dans les virgules. Pertes d’accent dans le

déhanchement.

Les commentaires sont fermés.