mardi, 14 juin 2011
Herdentrieb und Hospitalismus
D’aucune manière la danse
À peine lancée à la face du monde
n’a peur
Et nous, sinueux, sommes d’autres fantômes.
(S'en vont nuages faims regards.) Nous allons en zigzag
chaloupant nos envies nos aventures nos
cauchemars pour rien d’étonnant. Mais la route
est longue, avec ses
glissières, embardées, pertes de sang
Dans les virgules. Pertes d’accent dans le
déhanchement.
11:44 Publié dans J'allaite le nouveau Kant, II, J'Aurai Zig-Zagué, Unissons | Lien permanent | Commentaires (0)
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