Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 22 septembre 2011

« Ain’t done with smoke and mirrors »

    Dans la buanderie. Dix-huit mouchoirs, une serviette.

Dans le casier, à mon nom. Trois classiques américains, un de James, deux de Mailer.

Au-dessus de la poubelle. Un yucca, qui m’a piqué au visage. (Hier.)

Deux chansons différentes, qui se mixent. Dans ma tête. (Etincelles.)

Remplissage. Cinq livres dont le tome 1 de 1Q84. (Une pile sur une pile.)

Et sur la table de la cuisine, de mémoire, sept miettes de pain, un saladier, une boîte à chaussures pour stocker ail et oignon,    trois bocaux de confiture entamés

La ponctuation, poésie à soi, nous sauvera.

12:12 Publié dans 410/500 | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

Et il est comment le 1Q84? Le lirai-je ne le lirai-je pas le lirai-je ne le pas lirai-je ou pas? pas tout de suite en tous cas! quid de votre avis ? :)

Écrit par : if6 | jeudi, 22 septembre 2011

Eh bien, lu (seulement) le premier tome, dois passer acheter le tome 2.

En fait, je vais poursuivre mais suis partagé. Le début est très beau, l'équilibre entre l'univers disons lynchien et le rythme plus proche d'Ozu (ou, en fait, de l'écriture de Dazai Osamu) maintenu un bon moment, avant que la convergence des deux histoires distinctes ne devienne évidente. Pour mon goût il y a trop de romanesque au sens le plus feuilleton(n?)ien du terme, assez kitschement aussi (manga ?).

Cela dit, n'ayant jamais lu de Murakami, je me suis laissé dire que Kafka sur le rivage, par exemple, subirait sans doute les mêmes critiques. On aime ça, ou pas, je suppose.

Écrit par : MuMM | jeudi, 22 septembre 2011

Les commentaires sont fermés.