mardi, 25 octobre 2011
Asie
Vous ne mourrez pas de sitôt
Je vous remercie de l’aubaine
Non, jamais visiter Cîteaux
Au hêtre je suis comme faîne
Un roi paresseux nous envie
Je vous remercie du conseil
Non, jamais, jamais de la vie
Voir Fontevraud sous le soleil
Vous ne courrez jamais deux lièvres
Je vous remercie d’une langue
A la fois vifs, au froid des lèvres
A manqué l’écorce et la gangue
10:25 Publié dans Odelettes d'été | Lien permanent | Commentaires (0)
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