mercredi, 10 avril 2013
Ruines de la garde
Le ciel de juillet, cette année-là à l'ouest du Languedoc, était très lourd, souvent fuligineux, à faire fuir même les pétrels. Je me rappelle ce retour au gîte, par des routes départementales de campagne, entre des collines boisées de hangars en tôle, à attendre quel improbable miracle ? Nous avions contourné le village pour avoir cette vue de ruines inattendues, même pas signalées par la carte. La topographie des nuages ne change pas si aisément.
07:57 Publié dans Brille de mille yeux, Minimalistes | Lien permanent | Commentaires (0)
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