mercredi, 14 septembre 2016
ఏమీsophie
cramé le désopilant
combat dans l'arène qui n'en finit pas
chef-d'œuvre impérissable
(l'arène : un peu de sable
pour vous engourdir le cerveau
et vous distraire le claquoir)
il semble
qu'un aigle a percé le ciel au point qu'il en tremble
et le soleil tout seul
comme un con
fait la manche
18:40 Publié dans Onzains germains | Lien permanent | Commentaires (0)
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