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lundi, 10 février 2020

95–Binda–Piano

 

    Après ces quelques secondes de stupeur, à nous dévisager (quel animal magnifique), j’ai voulu le prendre en photo et voir s’il était affamé au point de ne pas fuir. Il a fui, bien sûr, dans la haie, dans la trouée d’où, le matin même, s’était échappé une sorte d’aboiement miaulé, que je n’ai pu identifier, mais qui était certainement le feulement de cette même bête. Depuis jeudi – et ces deux apparitions à vingt minutes d’intervalle – nous ne l’avons pas revu·e, plutôt rassurant pour l’animal : ici, pas de bois ni de parcs.

 

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