Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 17 juillet 2020

@6

18 juillet

 

ce hibou frêle

musicien chétif

instrumentiste passe

sous l’averse de grêle

 

parole en fond de calebasse

dans l’orgasme un râle

où me frôle

la mort (le soutif

 

loin et les seins à pleine

bouche) un ciel de traîne

bâille

 

aimer son autre animal

sans médaille

pour un hydrolat lacrymal

 

Les commentaires sont fermés.