vendredi, 17 juillet 2020
@6
18 juillet
ce hibou frêle
musicien chétif
instrumentiste passe
sous l’averse de grêle
parole en fond de calebasse
dans l’orgasme un râle
où me frôle
la mort (le soutif
loin et les seins à pleine
bouche) un ciel de traîne
bâille
aimer son autre animal
sans médaille
pour un hydrolat lacrymal
14:52 Publié dans Sonnets aphones | Lien permanent | Commentaires (0)
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