mardi, 21 juillet 2020
6@
21 juillet
le soir je lis Vinclair
et le matin Hugo
deux livres univers
aux reflets inégaux
pions dans un jeu de go
les poèmes amers
pas pour les saligauds
de tirer ça au clair
lire me désespère
et m'enchante, c'est dur
tout autant que c'est beau
un dizain au rabot
une ode pour l'azur
en perdre tout repère
08:25 Publié dans Sonnets aphones | Lien permanent | Commentaires (0)
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