jeudi, 23 mars 2006
K
Comme dans ce roman de Kadaré, je tiens le registre des rêves ; ma peau burinée se craquelle, laissant voir la peau, pisser le sang ; s’échappe à tout jamais l’héroïne.
(Où je me rêve en toxicomane, ce qui est loin du conte.)
23:20 Publié dans Arbre à came | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
C'est violent mais j'aime aussi ce genre de propos réalistes.
Le vocabulaire est important pour donner à une scéne toute l'horreur que l'on veut faire passer dans le texte et je sais que tu es un maître en la matière.
Écrit par : steph | jeudi, 23 mars 2006
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