mercredi, 12 avril 2006
Codex un poco Faenza
Dédier une semaine à saint Ouen, prendre les eaux à Eugénie et les orgues à Rouen. J’ai appris récemment que lycaon se prononçait vraiment [likaon] et non [likã], comme, par analogie avec Laon, paon, faon, taon, je me l’étais figuré. Mélopées qui défigurent les visages du Christ, mais on n’est pas à l’abri d’un sursaut de cabri, d’une ruade d’âne, d’une valse chevaline débridée qui viendra, par la faune, remettre nos préjugés à leur place. Dans le square noir de monde, les feuillages applaudissent à tout rompre.
07:15 Publié dans Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE
Commentaires
hi han bèhh, hue et dia Rossinante, dis bonjour au poète ton frère, stoppe donc ton trot que je descende voir ces quelques lignes tracés à la pointe d'un coeur d'or
Écrit par : jérômedavid | samedi, 15 avril 2006
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