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lundi, 03 juillet 2006

Saepe terrent numina

    Ébloui par la première aria de l'opéra Apollo et Hyacinthus, composé par Mozart à onze ans et dont, dans mon ignorance, je ne connaissais pas même l'existence, je cherche le texte du livret (en latin) sur la Toile, le trouve aisément grâce à la base de données de l'université de Stanford (il est ici) et me surprends à lire ce latin-là, du 18ème siècle, à livre ouvert. On peut bien se vanter un peu de temps à autre...       Sérieusement, cette aria, chantée par Arno Raunig dans la version enregistrée en 1990 par le Rundfunk-Sinfonieorchester Leipzig, est à la hauteur de bien des airs de l'époque.

mardi, 06 juin 2006

Le Paysan du Danube

    La septième fable du Livre XI signe un pacte polygame avec son lecteur, qui doit épouser plusieurs discours, les admirer, les entreprendre, et jusqu’à ce distique qui exige de relire l’ensemble, plus minutieusement encore. (Les neuf mots du vers 72, alexandrin, sont modèles.) Ce paysan si fin orateur, à qui ne revient pas même le mot de la fin, nous emporte en promenade, et, découvrant calamités et dignités, il en impose, d’un seul souple battement de cils.

mercredi, 24 mai 2006

Virée nordique

    Mercredi a été peuplé par le violoncelle de Truls Mørk, jouant les suites de Britten, la voix de Peter von Poele (avec cuivres et sentences énigmatiques), et le medium band que dirigent, dans l’album The Source and Different Cikadas, Trygve Seim et Øyvind Brække. Un trièdre complexe – finement architecturé – de tessitures et d’octaves a scandé la marche des heures.

17:47 Publié dans 59 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

mardi, 23 mai 2006

Tiraillements

    Envoûtante, lyrique, capricieuse, la onzième des Rhapsodies hongroises me soutient dans mes efforts, l'exercice périlleux du saut de corde d'une langue l'autre, ce qui ne manque de me réjouir, car, si je ne vis pas à Onzain, si je n'aime pas le football plus que cela (je le regarde à la télévision trop souvent, même à mon goût), je suis féru du nombre 11, qui structure un nombre non négligeable des rubriques (ou catégories) de ce site, et, sous la forme de l'hendécasyllabe, a donné de très beaux vers à la langue française. Nous dansons, mon clavier et moi, et le funambule fait des pirouettes de phrase à phrase, entre le clocher et les étoiles. Sur une autre corde, plus mince encore, plus brillante aussi, Roberto Szidon m'encourage de ses arpèges, et mes doigts virevoltent, s'élancent, souples dansent.

Léman

    La peur aux tripes, il n'est pas question d'extirper ces escarbilles de ton regard ensoleillé, puisque s'envolent les sarcelles, les flamants, et même les cygnes, pourtant si élégants à la surface du lac. Autant de ratures que de sous dans ma sébile ; autant de fous en bisbille de sous dans mon escarcelle. Sur les rives du lac, je continue de peindre.

Vous passiez en fredonnant l'air si ténu, si joli, si poignant, de l'Allegro  qui vient clore le  Trio pour piano KV 542. Comment l'ai-je reconnu ? Ma vie glissait entre les rides, à la surface du lac. 

lundi, 22 mai 2006

Infinis

    Le diable bat sa femme.

Pris par les figures de Plotin et les ombres des hiboux, je me laisse transporter par la sixième des Rhapsodies hongroises, en tentant de ne prendre garde aux battements de cils insensés du soleil et des nuages. Ma peau est un clavier où s'exclament des éclairs infiniment muets.

14:30 Publié dans MUS | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

mercredi, 10 mai 2006

Âme noire

    Immédiatement après que j'eus écrit (et publié dans la foulée) la note relative à notre promenade de ce matin au Jardin botanique, une mélancolie atroce me saisit, me pétrifia, et je ne pus plus envisager de me mettre au travail. J'enfilai le blouson rouge que je traîne par passades depuis 1992, et marchai jusqu'au salon de coiffure où je cueillis, au vol, fils et compagne, afin de les accompagner à la médiathèque de La Riche.

D'ordinaire, pourtant, l'écriture a sur moi un effet euphorisant, et m'incite à plus d'efforts. D'ailleurs, cette promenade était très joyeuse, et le texte que je lui ai consacré est surtout hantée par les ombres de l'ours mort et de sa veuve affligée.

À présent, le trio pour piano KV 496 m'apaise et m'attriste.

17:17 Publié dans 721 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

lundi, 08 mai 2006

Trouées, 1 : Le parc de Combourg

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    Vous saluerez de ma part Atala et le dernier Abencérage.

Le parc solitaire et glacé ? Non. Un cheval noir, superbe mais boiteux, déjeunait d'herbe. Après la visite du château, une averse nous cueillit à froid.

Nous n'avons pas croisé de spectrale jambe de bois.

vendredi, 05 mai 2006

Vignettes du vendredi, 2

    Vivaldi, encore. Est-ce que je préfère l'allegro qui ouvre le concerto n°2 de l'Estro Armonico, ou le déchirant andante médian du concerto n°1 ? Question dénuée de sens.

16:05 Publié dans MUS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

lundi, 01 mai 2006

Confins du monde

    Joris Verdin reprend du galon. Je m'en ressers une rasade, avec ta permission. Hein ?

Dans la nuit de samedi à dimanche, dormant fort peu, saisi d'insomnie dans cet hôtel, très confortable pourtant, de Saint-Savin, j'ai écrit au moins trois ou quatre pages (dans ma tête, dans le lit) du texte que j'imagine, en hommage à Wittgenstein's Mistress.

Pour une fois, la lettrine est un J, mais j'ai attendu quelques mots (six, à peine) avant d'écrire je.

Il serait temps de l'écrire, ce texte. Le style inimitable de Wittgenstein's Mistress n'est pas inimitable. Il est toujours question de fin du monde (Verdin, Malevil, Markson, Obok).

XIX

    Ixion n’avait pas dit son dernier mot. Ixion accroché à sa roue est un puits sans fond. It’s a wishing well with no will. La caravane passe dans le désert du Dodécanèse. All bark and no bite. Je suis cet Actéon dévoré par ses chiens.

samedi, 29 avril 2006

Oisives

    Gare à elle ! La case 59 du jeu de l’oie représente une chaumine au soleil, sa cheminée qui fume, et un épouvantail, qu premier plan. Cette scène idyllique, champêtre, bucolique, où respire le butin des prés, ne se laisse pas menacer par la proximité de la Camarde, ni des montagnes noires dignes d’un tarot tragique. On ne souffre aucun retard, dans ces parages. L’épouvantail se réveille doucement, s’anime, comme au commencement de la treizième des Enigma Variations.

 

jeudi, 27 avril 2006

Nous, vagabonds

    Nous vagabondons toujours près de mondes dévergondés, près de portes dont les gonds sautent devant nos yeux, ou rouilleront lentement. Je lis Wittgenstein’s Mistress, qui m’impressionne. Ce matin, comme je me lassais de l’itinéraire habituel, nous sommes allés de Cagnotte à Hagetmau en passant par Mimbaste, mais surtout par la route de Gaujacq (dont je voulais montrer, à mon fils, le château construit selon le plan d’une villa romaine par je ne sais plus quel lieutenant de Louis XIV (il a l’air ouvert, & peut-être le visiterons-nous demain si la pluie persiste)) et de Brassempouy (que mon fils a reconnu, grâce à la reproduction de la Dame sur le toit du musée, puis grâce au clocher en point de mire au bout de la rue). J’ai écouté, hier soir, & deux fois en entier, le dernier album de Manset, Obok, que je venais d’acheter à Dax. Nous périrons de blessures discrètes, vagabonds prudes ou roides que le monde emporte dans sa course, pores de la peau offerts aux quatre vents, visages serrés.

13:38 Publié dans 721 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

lundi, 17 avril 2006

Avenue Dureau

17 avril, 10 h 40.

    Comme j’écoute les premières des Variations Goldberg enregistrées par Jean-Sébastien Dureau en 2003 et publiées seulement ce mois-ci en accompagnement de la revue Classica (que je n’avais jamais lue et qui est d’un niveau général bien médiocre), je m’étonne de ne pas trouver plus lente cette interprétation, alors qu’elle est plus longue, d’un quart d’heure, que celle de Wilhelm Kempff (ma référence absolue), et presque deux fois plus longue que la preste et révolutionnaire version de Glenn Gould, et je repense combien, dans la librairie papeterie de Hagetmau, le magazine (que j’avais cessé de chercher, lassé de ne pas le trouver au milieu des blisters et des couvertures glacées, dans les bureaux de presse de Tours) m’a quasiment sauté aux yeux, ce matin. Ce n’est pas tant qu’il s’y trouve moins de titres que dans les échoppes tourangelles, mais il y a, tout simplement, plus de place, ce qui, me semble-t-il, doit inciter les chalands à s’envier davantage de telle ou telle revue, et donc à en acheter plus.

Jean-Sébastien Dureau attaque la cinquième variation, une de mes préférées, et elle me paraît, sinon plus rapide que dans le jeu gouldien, au moins plus enlevée, moins mélancolique que dans l’enregistrement de Kempff. C’est à n’y rien comprendre. (Mais je dois avoir, dans cet ordinateur, la version des Variatione par Glenn Gould, et je pourrai me livrer à d’infinies et inutiles comparaisons.)

20:05 Publié dans MUS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

vendredi, 14 avril 2006

Partita super Christus surrexit

    Riche de vos ardeurs, ami de vos retards, j’ai parcouru les landes et les baies dénudées. Le monde m’a ouvert les portes de l’orgueil, et je me suis baigné dans les eaux de la Sorgue. Où vont les joueurs de théorbe ? Ils guettent Dieu, à l’aurore.

 

jeudi, 13 avril 2006

Sopra Lafafami

    Bien sûr, nous avons entendu, sous le prénom belge, l’appel du grand Huysmans, et c’est ce qui guida la main vers le disque de Joris Verdin, dans le bac, chez le disquaire. Toutefois, toute comparaison est abolie, toute ombre négative portée disparaît. Dans l’espace passe un ange. L’heure est venue, de carillonner des poumons, même à cette heure tardive.

07:30 Publié dans 59 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

mercredi, 12 avril 2006

Codex un poco Faenza

    Dédier une semaine à saint Ouen, prendre les eaux à Eugénie et les orgues à Rouen. J’ai appris récemment que lycaon se prononçait vraiment [likaon] et non [likã], comme, par analogie avec Laon, paon, faon, taon, je me l’étais figuré. Mélopées qui défigurent les visages du Christ, mais on n’est pas à l’abri d’un sursaut de cabri, d’une ruade d’âne, d’une valse chevaline débridée qui viendra, par la faune, remettre nos préjugés à leur place. Dans le square noir de monde, les feuillages applaudissent à tout rompre.

mardi, 11 avril 2006

Air varié sur les jeux de fond

    La lourde voix s’envole, et le chant débroussaille l’air. Des coups de ciseau gravissent les montagnes. Joris Verdin joue sa composition, la note tenue sur l’émoi, et le fil glissant de son étonnement.

07:10 Publié dans MUS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

lundi, 10 avril 2006

Montag morgen

    Le voisin du 12  – un retraité très aimable et sensiblement sourdingue –   ne cesse de faire des allées et des venues au volant de sa Mercedes. Je dégouline sang et eau sur les corrections d'un recueil d'articles, car deux de nos collaborateurs, quoique tous deux professeurs d'anglais dans l'enseignement supérieur, sont en délicatesse avec un certain nombre des subtilités de cette belle langue. Pour un peu, le concerto n° 1 de l'Estro armonico me tirerait des larmes. Il n'est pas très délicat d'avoir noté ici un fragment de mes déboires professionnels. Je suis barbouillé depuis hier après-midi.

Affetuoso

    D’une trouble majesté, Affettuoso (première pièce du disque d’Œuvres d’orgue de Joris Verdin (dont il est lui-même l’interprète)) se situe dans le sillage d’un Messiaen, sans paraître en partager le goût des sphères éthérées. Bien plus chtonienne que celle de Messiaen, cette musique se développe dans la rugosité de piliers d’église marqués par le sang des sacrifices. Le titre est-il ironique, ou suis-je sourd aux intentions du compositeur ? On a beaucoup glosé, en ma présence, de ma fausseté, de ma surdité, de mon obtusion, de mes assonances.

dimanche, 09 avril 2006

Auberge espagnole

    Il suffit que je passe une journée en vadrouille pour trouver, à mon retour, trente nouveaux commentaires. Je vais faire mine de m'en offusquer pour que vous compreniez bien tous à quel point votre fidélité me fait plaisir, m'honore... et combien vos commentaires me font sourire, rire, rêver, me rendent admiratif, etc. Cela s'accouplant à la quatrième des Sonates pour deux flûtes de Telemann, et la journée passe comme un nuage léger.

17:26 Publié dans 721 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

samedi, 08 avril 2006

Orgueil

    J’ai
osé
réussir
ici et là
sempiternels des

Vers ombrageux que vos
Etreintes n’ont pas éteints,
Restant dans l’océan profond
Délavé de vérités blafardes,
Image ultime qui en ces temps-ci
Nullement ne se dérobe. J’ai osé !

 

vendredi, 07 avril 2006

Tentative d’écriture en simultané d’une première écoute de la Cinquième Symphonie (en ré majeur) de Ralph Vaughan Williams

    Ce que j’aime le moins, dans la musique, après n’avoir – en quelque sorte – connu que cela, ce sont les symphonies.

Je découvre la Cinquième de Vaughan Williams, et, après un premier mouvement à l’allegro limite dégoulinant, je suis séduit par le scherzo (Presto misterioso : tout un programme, ou même un oxymore ?) et franchement charmé par la romance, d’influence clairement romantique (comme son nom l’indique) mais douce, ô combien, comme un rêve de berger arcadien. (Je suis encore sous le coup des pages insulaires de Rannoch Moor, je pense.) Le hautbois nasille avec tendresse, et des frondaisons se balancent, bientôt gagnées par l’orage ; on se croit dans les bois.

La passacaille, composée de trilles, de rafales, de grands envols, n’est pas loin de l’emphase du premier mouvement. Mais ce sont aussi d’infimes sautillements, d’infinis regards perdus dans l’horizon. Pour être profondément symphonique, post-romantique, cette musique me plaît, par son unité, ses hésitations et ses retours de flamme. (Ce n’est qu’à première écoute. (Je dois me dépêcher de publier cette note, qui me semblera demain avoir été écrite par un autre. (Et ce sera vrai.)) L’effet en est saisissant.)

Le grondement lointain est toujours maintenu ; jamais la passacaille n’explose en feu furieux, à moins que le finale (j’écris ceci en simultané) ne démente cette assertion. (Pauvre dément ! Closes tes parenthèses.)

Le finale est accompli.

16:02 Publié dans YYY | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

Berceuse

    En faisant la vaisselle, j’écoutais la 2ème sonate pour deux flûtes de Telemann, les doigts ébouillantés et les narines bercées par les effluves des cannelés cuisant dans le four. Dehors un doux grand soleil, qui ne parvient pas à me libérer de mes angoisses. Le déjeuner tout simple, de truite fumée et de chou frisé, passe comme un rêve.

15:42 Publié dans 59 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

Palette des sillons

    propos de façades : entre les deux principaux systèmes de rides qui se partagent mon visage, celui des cernes sous les yeux et leurs prolongements, d'une part, celui des plis d'amertume de la bouche et leurs dépendances, d'autre part, il est apparu récemment, sur l'un et l'autre versants du nez, de hardis sillons de liaison, des sortes de canal des Deux-Mers, ou du Rhône au Rhin, très droits, très sobres, très efficaces, qui impressionnent par la rigide simplicité no nonsense de leur tracé. Les soucis, désormais, peuvent aller du menton jusqu'au front sans toucher chair ni mettre pied à peau." (Renaud Camus. Rannoch Moor, pp. 650-1)

 

jeudi, 06 avril 2006

Virevoltes, 6

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    Quand le ciel noir et lourd

(dit le poisson)

pèse comme un couvercle...

mardi, 04 avril 2006

Admire

    N'ayant jamais été très féru de Haydn (ou plutôt : n'ayant jamais écouté très attentivement ni très régulièrement sa musique), je ne sais que penser de son Armide, drame héroïque de 1784, et dont l'enregistrement m'avait été offert il y a quelques années pour Noël. Je l'ai écouté hier de bout en bout, et c'est un bel opéra, incontestablement, avec des airs d'une beauté à couper le souffle, mais je n'y prends pas le même plaisir qu'aux opéras de Mozart, dans lesquels la gaieté et la gravité, l'extase et la douleur se répondent par des contrepoints hardis, avec, bien entendu, une riche gamme d'émotions intermédiaires. Dans cette Armide, la gaieté s'exprime toujours gravement, et la gravité avec entrain ; ce genre fort mêlé, fort oxymorique, devrait me plaire, et pourtant je trouve à l'ensemble de la partition quelque chose de raide, de figé. (Il est entendu que certains airs sont bouleversants, je l'ai écrit.)

Sans doute mon avis est-il contradictoire, comme souvent, car je me vautre avec délices, ces temps-ci, dans les opéras de Lully, dont on ne peut pas dire que le chaloupé soit leur principale qualité ; plus hiératique (en quelque sorte), tu meurs.

Mais il faut interrompre l'écriture de cette note, car mon fils, curieux de voir ce défilé (et d'entendre crier "non au CPE", je pense), nous exhorte à nous préparer pour la manifestation. (Quand on dit que c'est la jeunesse qui sème la zizanie dans ce pays...)

09:17 Publié dans MUS | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

lundi, 03 avril 2006

Fléchette

    Au début de l'acte I de l'Armide de Haydn, Rinaldo célèbre sa bien-aimée dans un vers renommé : "la mia tiranna". Dans la version enregistrée par le Concentus Musicus de Vienne sous la direction de Nikolaus Harnoncourt (Teldec, 2000), le livret propose, comme traduction, "celle qui me hante".

16:08 Publié dans MUS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE

dimanche, 26 mars 2006

Manuel Jeronimo Romero de Avila

    Connaissez-vous le compositeur espagnol du XVIIIème siècle Manuel Jeronimo Romero de Avila ? Pas moi, en tout cas. Aucune information nulle part. Une énigme.

17:21 Publié dans MUS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE