lundi, 22 mai 2006
Infinis
Le diable bat sa femme.
Pris par les figures de Plotin et les ombres des hiboux, je me laisse transporter par la sixième des Rhapsodies hongroises, en tentant de ne prendre garde aux battements de cils insensés du soleil et des nuages. Ma peau est un clavier où s'exclament des éclairs infiniment muets.
14:30 Publié dans MUS | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE
Commentaires
Le diable bat sa femme, elle bat le briquet, ça chauffe, c'est l'enfer, tout le monde est content...
Écrit par : joye | lundi, 22 mai 2006
Le diable bat sa femme
A grands coups de bâton
Le diable bat sa femme
Le diable est un couillon
Écrit par : Jacques Layani | lundi, 22 mai 2006
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