dimanche, 09 avril 2006
Auberge espagnole
Il suffit que je passe une journée en vadrouille pour trouver, à mon retour, trente nouveaux commentaires. Je vais faire mine de m'en offusquer pour que vous compreniez bien tous à quel point votre fidélité me fait plaisir, m'honore... et combien vos commentaires me font sourire, rire, rêver, me rendent admiratif, etc. Cela s'accouplant à la quatrième des Sonates pour deux flûtes de Telemann, et la journée passe comme un nuage léger.
17:26 Publié dans 721 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE
Commentaires
Il suffit que je fasse une fournée de nouilles pour trouver, à mon four, trente nouveaux commissaires. Je vais faire mine de me gratter pour que vous compreniez bien, fous, à quel sein votre tétée me fait glapir, maux du nord... et combien vos glaires me font frémir, dire, graver, me rendent normatif, etc. Ceux-là s'abouchant à la quatrième chaîne des patates pour deux putes de Télérama, et la journée tasse comme un potage désagrégé.
Écrit par : Jacques Layani | dimanche, 09 avril 2006
Jacques... es-tu souffrant ?
*(Bis)*
Écrit par : MuMM | dimanche, 09 avril 2006
Par ailleurs, ton commentaire "métamorphique" pourrait être publié tel quel dans la catégorie 410/500. Quel talent !
Écrit par : MuMM | dimanche, 09 avril 2006
J'adore jouer, comme ça, avec les mots, les prendre, les retourner, faire fi du sens, parfois, pour jouer avec les sons, pasticher non le contenu de ce que tu avais écrit, mais la simple phonie de ta note.
Écrit par : Jacques Layani | dimanche, 09 avril 2006
Suis-je la seule à ne comprendre qu’une fois sur dix, le rapport entre le titre de la note, et la note elle-même ?
Écrit par : Aurélie | dimanche, 09 avril 2006
Dans ce cas précis, vous ne connaissiez peut-être pas l'expression idiomatique : une auberge espagnole est un lieu où chacun des convives apporte ses vivres.
Dans le cas de certains titres, je concède que le langage y est plus énigmatique.
Écrit par : MuMM | lundi, 10 avril 2006
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