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mardi, 23 mai 2006

Tiraillements

    Envoûtante, lyrique, capricieuse, la onzième des Rhapsodies hongroises me soutient dans mes efforts, l'exercice périlleux du saut de corde d'une langue l'autre, ce qui ne manque de me réjouir, car, si je ne vis pas à Onzain, si je n'aime pas le football plus que cela (je le regarde à la télévision trop souvent, même à mon goût), je suis féru du nombre 11, qui structure un nombre non négligeable des rubriques (ou catégories) de ce site, et, sous la forme de l'hendécasyllabe, a donné de très beaux vers à la langue française. Nous dansons, mon clavier et moi, et le funambule fait des pirouettes de phrase à phrase, entre le clocher et les étoiles. Sur une autre corde, plus mince encore, plus brillante aussi, Roberto Szidon m'encourage de ses arpèges, et mes doigts virevoltent, s'élancent, souples dansent.

Commentaires

« Nous dansons, mon clavier et moi, et le funambule fait des pirouettes de phrase à phrase, […] et moi mes doigts virevoltent, s'élancent, souples dansent.» : enjoy your dynamic writing, and dynamic thiking by the way.

NB : aucun rapport, mais j’ai pensé à vous lorsque j’ai appris la disparition de Max Meynier.

Écrit par : Aurélie | mardi, 23 mai 2006

thiNking, sorry...

Écrit par : Aurélie | mardi, 23 mai 2006

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