lundi, 01 mai 2006
Confins du monde
Joris Verdin reprend du galon. Je m'en ressers une rasade, avec ta permission. Hein ?
Dans la nuit de samedi à dimanche, dormant fort peu, saisi d'insomnie dans cet hôtel, très confortable pourtant, de Saint-Savin, j'ai écrit au moins trois ou quatre pages (dans ma tête, dans le lit) du texte que j'imagine, en hommage à Wittgenstein's Mistress.
Pour une fois, la lettrine est un J, mais j'ai attendu quelques mots (six, à peine) avant d'écrire je.
Il serait temps de l'écrire, ce texte. Le style inimitable de Wittgenstein's Mistress n'est pas inimitable. Il est toujours question de fin du monde (Verdin, Malevil, Markson, Obok).
15:05 Publié dans Unissons | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : TRES GRANDE MUSIQUE
Les commentaires sont fermés.