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lundi, 17 avril 2006

Boulevard Jourdan

17 avril, 10 h 30.

 

    Au lieu de vous entretenir oiseusement et sempiternellement de la fièvre des nombres, je pourrais bien insister sur mes folies alphabétiques, qui m’ont permis de découvrir, jeudi dernier, l’œuvre poétique de Pierre-Albert Jourdan, dont même le nom m’était inconnu, mais qui m’a happé tandis que je cherchais, sur le catalogue du Service Commun de Documentation, s’il y avait des ouvrages de Dieudonné Jourda (pas trace) ou de Pierre Jourde (si fait). Depuis, je lis, par à-coups, les proses brèves de L’Espace de la perte, qui sont éblouissantes.

19:05 Publié dans Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (0)

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