lundi, 17 avril 2006
Toute bue
Dans le journal Sud-Ouest, édition du 17 avril 2006, on trouve, en dernière page, un article consacré à deux jeunes femmes, titulaires depuis peu de leur doctorat en sociologie et dont les travaux respectifs viennent d’être primés par le Prix Le Monde de la Recherche Universitaire.
Outre qu’il faudrait vérifier la part effective de la sociologie dans le palmarès, je note avec surprise cette phrase de l’auteur de l’article, une certaine Hélène Rouquette-Valeins : « Béatrice, 31 ans, reconnaît sans honte qu’elle a été “ravie” par cette distinction et contente de la partager avec ses parents ».
Je ne comprends absolument pas l’intention de l’auteur de cette phrase. Faudrait-il avoir honte d’être un chercheur reconnu par ses pairs au niveau national ? À l’heure où le moindre sportif écervelé, dont l’exploit ne fait en rien avancer l’humanité, se félicite à longueur de colonnes de l’importance « du mental » dans sa victoire, être l’auteur d’une thèse de plusieurs centaines de pages et récompensée de surcroît par un jury national devait être un sujet de honte… Bon…
18:00 Publié dans Narines enfarinées | Lien permanent | Commentaires (22)
Commentaires
Peut-être faut-il comprendre qu'une nécessaire humilité aurait dû empêcher -- au moins dans l'esprit de l'auteur de l'article -- d'être "ravie" de cette distinction. Si tu veux, les règles de convenance exigent -- toujours dans l'esprit de cette dame -- de ne rien montrer, ne rien manifester, ne rien dire. *Never explain, never complain* et, dans le même esprit finalement, ne jamais montrer la joie créée par un succès. C'est cette notion de "triomphe modeste", très répandue.
Écrit par : Jacques Layani | mardi, 18 avril 2006
Suis d’accord avec Jacques. Il peut d’ailleurs parfois arriver qu’on en ait presque honte d’avoir aussi bien réussi, comme c’est le cas de cette dame, non ? (j’envie ceux à qui c’est arrivé…)
Écrit par : Aurélie | mardi, 18 avril 2006
Si Aurélie est d'accord avec moi, le soleil brille, la lumière revient, on mange le mois d'avril.
Écrit par : Jacques Layani | mardi, 18 avril 2006
Oh, mais si elle a tort, emmène-moi, au soleil qui brille, le vers revient, on songe à soi, d’un cil.
Écrit par : Aurélie | mardi, 18 avril 2006
Ô messie elle a tort, an, mène-moi, ô seau l'oeil qui brille, l'hiver me vient, honte songe de soie, teint des îles.
Écrit par : Jacques Layani | mardi, 18 avril 2006
Et bien si, elle s’en sort, en cette joie, où ce ciel qui brille, hyper serein, qui plonge sa proie en péril.
Écrit par : Aurélie | mardi, 18 avril 2006
Hé bien ! Scie aile cent sort, an sept choix, housse scie aile brie, hip ère ceux rein, qui plomb jeu sape roi an paix. Ris !
Auré- ris !
Oh, relis !
Écrit par : Jacques Layani | mardi, 18 avril 2006
Et bien, ciel sans sort, ancêtre j’ois, oust ! Si elle prie, y perd ce rein, qui blond je sais pas en périt.
Or, air « i » !
Orée, lit !
Écrit par : Aurélie | mardi, 18 avril 2006
A l'orée du lit
L'air d'ici
Est si
Doux
Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 19 avril 2006
Alors Ed., tu lis ?
« Les Dici… »
Et oui,
Tout.
Écrit par : Aurélie | mercredi, 19 avril 2006
Tout
C'est fou
Quand c'est vous
Que tout est doux
Et le vent jaloux
Marche sur les cailloux
Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 19 avril 2006
Loup
T’es où ?
Qu’en sève ou
Qu’eux tout taie d’où
Elle venge elle où
Ma chaussure laid caille ouh !
Écrit par : Aurélie | mercredi, 19 avril 2006
Lent
Talent
Qui se sent
Emerveillé
Et réveillé
De son lit
Par O
Rélli
Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 19 avril 2006
Ravie
Epanouie
Par les bruits
Particuliers
Et bien aimés
De Layani
Écrit par : Aurélie | mercredi, 19 avril 2006
Tendresses
Caresses
Jeunesse
Ivresse
Pour vous
Mais je crois
Que ma foi
On monopolise
La parole
Ici
Tous les deux
Si l'on veut
On pourra
Continuer à
L'infini
Ces soties
Enrimées
Ces avis
Enrhumés
Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 19 avril 2006
« Ces avis
Enrhumés » :
Je
Sais
MuMM
A débarrassé
Le plancher…
Écrit par : Aurélie | mercredi, 19 avril 2006
Aurélie & Layani
Je vous lis
et vous apprécie
Ris
Souris
A vos vers de talent pourris
Mais si
je suis
tacite et refroidi
c'est d'ici
la faute du bas débit
Écrit par : Max Meynier | jeudi, 20 avril 2006
Un bas débit
De boissons
Un fat débile
Des poissons
Une Aurélie
Alanguie
Et puis un must
Nommé Mumm
(Forcément, le fat débile, c'est moi.)
Écrit par : Jacques Layani | jeudi, 20 avril 2006
Un Layani
A foison
Le vers habile
De saison
On aurait dit
Un bandit
Qui a dit just
Morphée en somme
(Forcément, le bandit, c’est vous.)
Écrit par : Aurélie | jeudi, 20 avril 2006
Une Aurélie
Chez tonton
Tonton Jacquile
Layanon
La vache au pis
Pendaison
Donne du lait
Sans façons
(Abusivement, la vache, c'est moi.)
Écrit par : Jacques Layani | jeudi, 20 avril 2006
Un beau Jacquis
Crée son ton
Montons dans l’île
Trianon
Qu’il sache le prix
En saison
Ondulé
S’en fasse sons
(Abruptement, le Jacquis, c’est vous.)
Écrit par : Aurélie | jeudi, 20 avril 2006
Tiens, on s'amuse bien par ici aussi, hein Jac-rélie?!
Écrit par : Livy | vendredi, 21 avril 2006
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