jeudi, 20 avril 2006
5 Kap
Il s’en fallut de peu, en avril 2005, que je ne me lance, à corps perdu, dans la traduction de plusieurs textes de Beckett. Je ne me suis jamais bien remis de mes lectures relatives au soufisme, aux mystiques de l’Islam et aux 99 noms de Dieu. Samuel est l’un des noms prophétiques qui offre à la rêverie, autant qu’à la vaticination. (En chaire, J.-M. R. se marre bien, à croire qu’il se fout de nous, oui, l’effronté taciturne.) Je m’en fous, je me casse aux States. Croyez-vous qu’on puisse lui confier une traduction ? Dieu enfin, seul, vous entende.
20:50 Publié dans Kyrielles de Kaprekar | Lien permanent | Commentaires (0)
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