dimanche, 25 mars 2007
Brocolis à la lune
Les brocolis sont dans la cocotte. Avec on pourrait manger des pieds paquets (tant va la cruche à l’eau (en relisant Nana)). À la belote tu joues comme un gros naze. À douze ans je connaissais par cœur l’acte I de Cyrano. Il prend toute cette histoire d’usurpation d’identité très au sérieux. Tu joues comme un pied dès que c’est aux cartes. Elle n’avait pas voulu qu’on empêche son hamster de s’empiffrer. Après quelque temps, on décida de remplacer la lampe de chevet par une lampe d’architecte. Les plaques et tout ce qui est marbrerie, c’est ça qui pue la mort, me disais-je en descendant acheter les croissants et en passant devant la maison Cavey puis la maison Tourtault. Toi tu rêvassais à la lune.
12:21 Publié dans Dimanche pleurera | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Littérature, écriture, Poésie
Commentaires
On a le droit de manger les pieds et paquets et de laisser les brocolis sur le bord de son assiette ?
Écrit par : Didier Goux | dimanche, 25 mars 2007
Ca part dans tous les sens, j'adore!
Écrit par : Aurélie | dimanche, 25 mars 2007
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