jeudi, 17 mai 2007
Maraude
Dans le miroir où tout s'effondre
Où tu te regardes pleurer
Le fleuve est noir l'orage gronde
Et ton monde se perd dans l'onde
Yeux ô renards désemparés
Dans le miroir où tout s'effondre
Le fleuve est glauque l'heure tourne
À ces instants chatironnés
Recuits à l'encre qui n'entoure
Au grand jamais rose ni foudre
Même tes pleurs sont erronés
L'heure à l'horloge glauque tourne
23:55 Publié dans Odelettes d'été | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Poésie
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