vendredi, 18 janvier 2008
Renne&Gorki
Ravir l’air aux anges
entre chien et loup
n’être la part d’ombre d’aucune
étoile tombée dans sa course :
Kagel peut souffler du verre pilé,
on s’en moque ; on
embrasse encore l’espace – alors, se
ravisant, il
infléchit la course des astres,
nuages d’anges
grandiloquents.
22:15 Publié dans Zézayant au zénith | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Poésie, Musique
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