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dimanche, 20 avril 2008

... alors,

    Après ce premier tiers de printemps vide, il n'est que temps de reprendre la main (à plume). La tête affolée contre les thuyas secs, hier à Sousse et aujourd'hui où, avec ma mémoire inerte, j'ai tangué le bel automne. La valse alors peut reprendre. Alors, le clavier saisi, juste ce qu'il faut pour souligner le sel de cette viande, j'envisage de lancer des coquilles de noix, des brindilles, un peu au jour le jour, sans vraiment replonger dans les projets. Déjà se lancer. Comme c'est en se relançant qu'on danse.

Alors la valse peut reprendre, après ce premier tiers de printemps vide. Métaphores et comparaisons de la Vie de Filippo Rubè ne doivent ni cautériser ni servir de guide-âne. Dans le sous-main, il y a encore une belle moisson à venir. La mémoire alors inerte n'avait rien à croquer, et se relance alors.

A frizzle of eggs.

Plus tard, un thaumaturge se supprime.                                         (Notations)

.................................... alors            ,      il a bien failli

:                                    oublier l'espace plié en quatre et la capitale grasse. De la douleur, alors, notations.

 

16:47 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

lancez lancez, on attrapera en plein vol quelques poussières et brindilles.

Écrit par : if6 | dimanche, 20 avril 2008

Welcome back !!

Écrit par : Aurélie | mardi, 22 avril 2008

Les commentaires sont fermés.