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jeudi, 07 avril 2011

Elliott, version 1088/1295 (blanchie)

    Dans le labyrinthe, Mathieu perd les pédales (ce qui ne fait pas de lui un enfant de conte (faut pas pousser)). Matthieu mord les médailles (ce qui ne fait pas de lui un croque-mort (non mais !). Quand je vous disais, qu’à un signe près (la lettre t, qu’elle soit redoublée ou pas), le château de cartes (ou de Kapla) s’effondrait, pour ne rien dire de cette propension à terminer les phrases par des (longues)parenthèses. Et ce n’est pas d’énumérer les enregistrements d’œuvres d’Elliott Carter encore à acquérir (means fair or foul) qui l’aide à retrouver son chemin. Figurez-vous que je crois qu’il a la fièvre, car, ne reculant décidément devant aucun sacrifice (huit jours après son grand comeback (totalement inaperçu) dans la blogosphère), il annonce à la cantonade (et dix-huit jours désormais après le premier tour des élections cantonales) qu’il compte posséder tous les enregistrements possibles et imaginables des œuvres d’Elliott Carter avant la fin de l’année 2014. Mais enfin, me direz-vous : qu’est-ce qu’un enregistrement possible et imaginable ? Le pluriel détourne, la pénultième est vivante. (Alors, seulement alors, il put commencer à ébaucher le roman pharamineux dans lequel tous les Carter célèbres se retrouvaient, pour une cérémonie de chimères, à la Casa del Cordon.)

 

 

-------------- hors-champ ---------------

Le texte d'hier était le n° 1661. Mince, il faudrait attendre près de cent publications avant de penser à renouer avec la fièvre des nombres ?

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