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mardi, 20 mars 2012

Schade(n)freude

    Winter song d’Alban Darche, avec le RTQ String Quartet. ╬ C’est compliqué puisque je lis l’églogue hivernale le 1er jour du printemps avec, en tête, « Même en hiver » d’Annegarn. Hier, j’ai simplifié en traduisant spring chicken par poulet. Et aujourd’hui aussi, plein de chansons de Bo Diddley me reviennent. ↔ Hasard ou pas, je retombe, en remontant un fil imprévu, ce texte, dans lequel le nom de Bo Diddley m’avait servi de sortie de secours. Tout de même, ces sites sont une durable dinguerie. Et je me doute que, dans ¾ des navigateurs, les signes (flèches et autres ╕) dont je ponctue les nouveaux textes passent par pertes et profits, se muent en autre chose, sibyllines mochetés. ←Tant pis→. La Suite hongroise m’entraîne, alors, cette fois-ci, tant pis pour la dinguerie, et la guitare bricolée, et nos gueulades d’ivrognes sous le soleil printanier qui a des teintes d’automne. Ce n’est jamais, tant pis, ce n’est jamais simple, tant pis, ce n’est, tant pis, rien, l’hésitation, printemps et automne tant pis. └ Le terme teintes est factice, idiot, pure affèterie : le soleil printanier sent l’automne, fait penser aux arrière-saisons ┘ et tant pis si le prunier cherche à me contredire avec ses bourgeons, il y a bien des nèfles pourries plein le jardin, encore, tant pis ∙ tant pis.

13:56 Publié dans 1295, Unissons | Lien permanent | Commentaires (0)

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