lundi, 25 mai 2015
Par les papilles (432/519)
On aime les asperges, depuis toujours, et la saison en est toujours trop courte. Alors, en vivant si près de Chinon, Loudun et Saumur, on exulte — voilà des contrées souvent arpentées avec les papilles. Chantiers relancés (pour l’écriture en gris et vert aussi), champs sillonnés.
Aussi, un rêve fou a émergé, de faire pousser des framboisiers contre la haie de troènes, ou près des néfliers, sans détour ni disette. Treize phrases à faire cuire, à faire pousser au beau milieu des groseilliers. Et cinq mots pour rien.
18:28 Publié dans Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (0)
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