dimanche, 02 juillet 2017
Imot kunsten
Fini de lire Contre l'art (Les carnets) de Tomas Espedal.
Livre curieux, peut-être autofiction, divisé en deux grandes parties, ‘Avril’ et ‘Septembre’.
Le père, veuf, devient une sorte de mère pour sa fille, adolescente.
Les souvenirs de famille (générations précédentes) se mêlent à son histoire, ou à l'histoire de sa jeunesse telle qu'il la reprend.
(Encore) un écrivain boxeur, en tout cas un narrateur qui se représente en train de se battre souvent comme un sauvage quand il était jeune. C'est la notice biographique en quatrième de couverture qui précise que “Tomas Espedal est un ancien boxeur”.
L'histoire, non, mais l'écriture se passe sur l'île d'Askøy.
Fixation sur l'écriture, sur la machine à écrire.
Un texte qui donne notamment envie de retrouver sa vieille machine à écrire et d'écrire à la machine à écrire. Déjà, n'avait-on pas le plaisir de répéter inlassablement le verbe écrire quand on écrivait à la machine à écrire ? (Le traitement de texte nous a rembobinés sur le texte, pas sur écrire.)
10:32 Publié dans Zéro raison, quinine | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Ecouté en voiture "Une tranche de bifteck" de London.
https://www.franceculture.fr/emissions/fictions-le-feuilleton/une-tranche-de-bifteck-de-jack-london-0
Écrit par : VS | vendredi, 04 août 2017
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