lundi, 03 juillet 2017
Våren
Il y a quelques années, j'avais essayé de lire un roman de Sigrid Undset, je ne pourrais même pas dire lequel. Il m'était tombé des mains. En avais-je même lu vingt pages ?
Aujourd'hui, parmi d'autres titres commandés à la B.U. car ils se trouvaient en magasin : Printemps de Sigrid Undset.
Le volume, ancien pour ne pas dire décrépit, s'avère être le seul à ne pas être équipé d'un code-barres. Le bibliothécaire équipe donc l'ouvrage en rentrant le code-barres dans la base de données, etc. Ce n'est pas la première fois que cela arrive : j'ai le chic pour faire sortir des magasins des trucs imbitables.
Revenu chez moi, je jette un œil à ma moisson.
Printemps de Sigrid Undset, dans l'édition Stock de 1953 et la traduction d'Elna Cornet, n'a pas même les pages coupées. Absolument personne n'a ouvert le livre. (Même le premier lot de 12 pages n'a connu ni lame de rasoir ni couteau vif.)
14:44 Publié dans Zéro raison, quinine | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Avez-vous coupé ces pages?
Écrit par : Patrick | mardi, 04 juillet 2017
Toujours pas. J'en ferai un billet, vous pensez bien, le jour où...
Écrit par : MuMM | jeudi, 06 juillet 2017
Les commentaires sont fermés.