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lundi, 31 juillet 2017

Bjørnegård

    On avait amorcé le voyage en Norvège quelques semaines auparavant, par les guides et les livres bien entendu, mais aussi — hasard des lancements — par la peinture d'Olivier Debré et les innombrables belles toiles de Laerdal dont il est question également dans le livre d'Haaken Christensen. Le 22 juillet, nous avons traversé Laerdal, vu depuis la voiture ce cirque de montagnes sous une lumière très différente de celle, principalement neigeuse ou ocre, qu'a préféré Debré (l'automne, pas l'été).

monet bjornegaard.jpgD'ailleurs, c'est toujours la neige que l'on retient, ou qui retient l'attention (ainsi dans Pas facile de voler des chevaux, en cours de lecture). Et nous, bien entendu, à part de longs tapis aperçus d'en bas, ou hormis ces quelques coulées près desquelles nous nous sommes photographiés avant d'arriver à Geilo, la neige, on ne l'a pas trop vue. Quand on n'est pas allé à Bjørnegård, de toute manière, tout est permis, après, pour l'écriture.

Et tout ce retard, ces chalets rouge sang-de-bœuf ou arbouse, ce miroir des framboises partout présentes...

 

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