samedi, 15 juillet 2017
Haugerud
Dans la grande et belle maison — trop lisse, en un sens — que nous loue pour quatre nuits Ingrid (avec son époux qui est l'homonyme du seul joueur norvégien du Top 14), on a vu le soleil se coucher, puis, au petit matin, la brume mêlée de smog laisser progressivement la place aux collines boisées de conifères.
Beaucoup d'écriture en retard, mais il est difficile de s'éperonner.
2.300 kilomètres pour parvenir ici ; ça valait le coup.
Ici, c'est le quartier de Haugerud. Du jardin, avec son chalet miniature pour les enfants, on accède directement à la forêt, coupée de petits sentiers. De la fenêtre du bureau, comme on ne connaît pas du tout la ville, on ne sait pas ce qu'on voit.
09:01 Publié dans Zéro raison, quinine | Lien permanent | Commentaires (0)
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