mercredi, 29 janvier 2020
67–Sanggar Kemban Ceraki-Gamelan
Imaginer le cheminement d’une huître, à quoi elle s’arracha, dut s’arracher. Tu l’imagines, cela non sans mal. Qu’il est difficile de fixer son esprit sur tel ballottement au gré des flots, d’imaginer vraiment la mer, la mer sans l’homme ou sans les navires, d’imaginer la dérive parmi les débris plastiques. Comment ne pas laisser de telles images terribles interférer, s’imposer ?
Ce que l’on entend par là. Le voyage de l’huître. Il faudrait lire des pages, des pages. Il faudrait en écouter, des pêcheurs et des océanographes.
16:07 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)
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