mardi, 17 mars 2020
205–Puyana–Clavecin
Volets fermés, insomniaque, fatigué déjà du travail accompli, j’arrête pendant une minute pour ne rien faire d’autre ça : écouter Rafael Puyana.
Au casque.
Ni gel ni masque.
Ça y est, ça recommence.
Une minute sans penser au tumulte du monde ? Et même cinq ?
Est-ce trop demander, foutu crâne ?
06:51 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)
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