mardi, 31 mars 2020
265–Colombo–Clavecin
le vent agite les
branches du néfli
er, je vois ça de
ma fenêtre fermée
ce vent qui ne s’
arrête jamais net
adieu les stèles,
l’amour du confli
t comme en façade
ou graines germée
s ou bourgeons au
vent devenus vert
s bouquets de feu
illes, écran bleu
du ciel, nuit feu
qu’un vent malheu
reux agite ouvert
14:09 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)
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