vendredi, 24 février 2006
Qu’illimitait
Oui, avec le nez, je vois le bocage, les prés devant mes yeux sentis.
« Il me semblait, ainsi, que ma vue ne fût plus seule à m’enseigner le paysage, mais que je le sentisse encore par une sorte d’attouchement qu’illimitait cette bizarre sympathie. » (A.G. Im., p. 135)
Non ; j’entends le frisson des vols d’alouette en points-virgule.
11:25 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0)
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