mardi, 28 février 2006
Payolle, 24 février
Un quadragénaire barbu, essoufflé à force de courir, et qui est responsable d’un groupe d’enfants qu’il initie à l’art subtil des chiens de traîneau, nous lance :
« Ils vont me crever, ces gosses ! Ils courent comme des rats empoisonnés ! C’est les premiers que j’ai comme ça : d’habitude, ils bougent pas… »
Voilà une comparaison inédite… ?
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