Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 28 février 2006

Payolle, 24 février

    Un quadragénaire barbu, essoufflé à force de courir, et qui est responsable d’un groupe d’enfants qu’il initie à l’art subtil des chiens de traîneau, nous lance :

« Ils vont me crever, ces gosses ! Ils courent comme des rats empoisonnés ! C’est les premiers que j’ai comme ça : d’habitude, ils bougent pas… »

Voilà une comparaison inédite… ?

14:45 Publié dans 59 | Lien permanent | Commentaires (0)

Les commentaires sont fermés.