mercredi, 08 mars 2006
Pardons
Tes ténèbres me violentent ; le vent se trompe.
Le voile se ternit, comme tu le verras.
Prends la ceinture. Lace-la autour des cheveux de l’aurore, qui commence.
09:20 Publié dans Sonnets de février et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)
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